Publié le 27 août 2025
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Cap d’Agde : clap de fin, mais les IST font des prolongations !

Oh, les rockstars du Cap d’Agde, vous avez encore fait des vagues cet été ! Les soirées où les maillots disparaissent plus vite que la morale, les rencontres qui feraient rougir un scénariste de films X… Bravo, vous avez assuré.
Mais, surprise ! Septembre arrive, et avec lui comme chaque année, les charmants souvenirs du Cap qui grattent là où il faut pas. Alors, avant de remettre le couvert, un conseil : filez au labo pour un test MST. Parce que, franchement, le seul “cadeau” qu’on veut ramener, c’est une anecdote croustillante, pas un pass VIP pour la clinique !

Pourquoi un test ? Parce que les IST adorent le Cap autant que vous !
Le Cap d’Agde, c’est la Mecque du libertinage, mais aussi le terrain de jeu préféré des MST.
Après vos marathons de nuits torrides, un check-up, c’est le minimum syndical pour éviter que votre prochaine soirée ne se termine en “ouille, c’est quoi ce truc ?” Sarcastique ? Peut-être, mais on n’a pas tous survécu aux soirées mousse pour se faire avoir par une bactérie opportuniste.

Comment ça se passe ? Plus facile qu’un plan à trois mal négocié !
• Zéro prise de tête : Pas d’ordonnance, pas de blabla. C’est plus simple que de trouver un coin tranquille au Village Naturiste.
• Gratuit et plus rapide qu’un speed-dating foireux : Poussez la porte du premier labo d’analyses que vous croisez, demandez un test complet VIH/MST (prise de sang, urine, gorge – le grand jeu), et c’est plié en moins de temps qu’il n’en faut pour lacer vos talons aiguilles.
• Résultats express : Quelques jours plus tard, vous saurez tout. Et hop, vous pourrez repartir pour de nouvelles aventures, l’esprit aussi léger que vos tenues au Cap.

Libertins, soyez malins (et toujours aussi scandaleux) !
Vous êtes les pros des soirées où tout est permis, alors prouvez que vous savez aussi jouer les héros du bon sens. Un test, c’est votre passeport pour continuer à enflammer les pistes sans déclencher une alerte sanitaire.
Alors foncez au labo. Les seules vagues qu’on veut, ce sont celles du plaisir !