Publié le 10 décembre 2025
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Moi, Mademoiselle C, j'ai toujours été curieuse de mon corps, mais le plaisir anal, c'est comme si j'avais découvert un secret enfoui au fond de moi, une porte cachée qui s'ouvre sur des vagues d'extase que je n'imaginais même pas.

La première fois, j'étais nerveuse, mon cœur battait la chamade, mais avec un partenaire doux et patient, qui a pris le temps de me caresser lentement jusqu'à ce que je sente cette chaleur monter, cette envie irrésistible d'en avoir plus. Quand il a enfin glissé en moi, millimètre par millimètre, j'ai ressenti une plénitude incroyable, comme si tout mon corps était rempli d'une énergie qui pulsait depuis mon cul jusqu'à mon clitoris.

Les orgasmes anaux, pour moi, c'est une explosion différente, plus profonde, plus animale. Ça commence par une pression exquise sur les parois internes, qui stimule des zones que le vaginal n'atteint pas toujours.

Je me souviens de cette fois où j'étais à quatre pattes, les fesses offertes, et qu'il a commencé à aller et venir lentement, en me caressant le clito en même temps. Mon cul s'est détendu, et soudain, une vague m'a submergée : mes muscles se contractaient autour de lui, mon ventre se nouait, et j'ai joui si fort avec cette sensation de chaleur liquide qui se répandait partout, comme si mon orgasme partait du fond de mon anus pour irradier tout mon corps.

C'est indécent, oui, mais tellement libérateur – dans ces moments je me sens comme une petite salope assumée, qui adore sentir une queue épaisse me remplir le cul, me faire trembler sans même toucher mon vagin.

Et quand on ajoute des jouets, c'est encore plus excitant. Un plug vibrant, inséré doucement pendant les préliminaires, qui vibre contre mes parois pendant qu'on me lèche, me fait monter en flèche.

L'orgasme anal me laisse pantelante, avec cette pulsation résiduelle qui dure des minutes, comme si mon cul continuait à jouir tout seul.

J'adore être cette femme qui ose, qui dit "prends-moi par derrière" avec un sourire coquin, et qui finit par supplier pour plus.

C'est mon plaisir secret, celui qui me rend addictive, mais que je ne pratique qu’avec des hommes particulièrement délicats et vicieux – essayez, les filles, avec beaucoup de lubrifiant et de douceur, et vous verrez à quel point c'est indécent et divin.


Quant à moi, Monsieur R, je vais vous confier ce qui me fascine le plus dans l’acte d’offrir à une femme le plaisir anal : c’est cette danse lente et délicate où tout n’est que patience, confiance et abandon.

Ce que j’aime par-dessus tout, c’est la dilatation douce, progressive, presque rituelle. Commencer par des caresses légères autour de l’anus, effleurer avec les doigts, la langue, déposer du lubrifiant chaud, puis introduire un doigt, puis deux, avec une lenteur infinie, en observant chaque frisson, chaque soupir. Je sens la résistance céder peu à peu, les muscles se relâcher, le corps s’ouvrir, s’offrir. C’est un privilège rare : être celui qui guide cette ouverture, qui transforme la tension en volupté pure.

Mais ce qui m’excite le plus profondément, ce n’est pas la pénétration en elle-même. C’est l’abandon total de ma partenaire. Quand elle se donne enfin, quand son corps accepte pleinement, quand ses gémissements deviennent plus indécents, quand ses hanches se cambrent d’elles-mêmes pour m’accueillir plus profondément… c’est là que je ressens une excitation intense, presque spirituelle. Voir ses yeux se voiler, entendre son souffle s’accélérer, sentir son cul se contracter autour de moi en rythme avec ses orgasmes – ces vagues longues, profondes, qui la traversent de l’intérieur – c’est un miroir de son plaisir qui me consume.

J’aime savoir que c’est ma patience, ma douceur, ma présence qui lui permettent d’atteindre cette jouissance si intime, si vulnérable. Quand elle jouit ainsi, offerte, tremblante, je me sens à la fois puissant et humble. C’est une communion rare, un échange où je ne prends pas : je reçois son abandon, et je le lui rends en plaisir.

Pour moi, l’anal n’est pas une conquête. C’est une célébration de la confiance absolue et du plaisir partagé, dans sa forme la plus élégante et la plus profonde.